viernes, 20 de marzo de 2009


Ca y est, c est fait!

Plus de restauration, finis les « Patron, c’est possible de changer la garnition », les « Pour moi ce sera la même chose avec des frites a la place de la salade et un steak a point a la place du poulet !
Finis les réservations en plein service pour venir manger a dix huit en terrasse. Ben non messieurs-dames, je suis désolé mais ca va pas être possible. Comment, de rajouter une table dehors, non plus ! La, si je rajoute une table de plus, tu manges sur la rue.
Remarques, c est pratique si tu veux prendre le 109, t es juste à cote !!
Rassurez vous, il nous reste tout de même la cafeteria pour s amuser. Ici, ils ont créé un service spécial pour barman dépressif après avoir reçu la visite d un contingent de buveurs de Capuccino !
Apres deux noisettes en Jarrito, l une avec du lait froid, plus de café que de lait et l autre un cortado plus…
Ca fait quatre ans et franchement le cortado plus je ne sais toujours pas ! Plus de café, plus de lait ?
Mais la j exagère. Souvent c est les fournisseurs qui te rendent fous !
Va expliquer un soir d été, a quatre vingt étudiants sous pression qu’il n y en a plus de pression. Juste parce que Heineken n aplus de barils. C est beau ca comme explication !!!
A cet instant si tu croises le représentant tu lui fais bouffer un a un tous les sous-de-verres !
Perso, je fais mon mea-culpa. J ai quelques fois servi de la bière chaude, les soirs de match et il m arrive encore d utiliser du rhum national dans des shots.
C est bien simple, si t abuses du rhum national ou d un truc qui dit national, tu perds la vue !! Ici ils s en servent durant les compétitions de vitesse de 103 SP !
Mais tout ca c est du passe. Maintenant nous boirons des mojitos en parlant des essais de Lacan, des envolées lyriques de Jankélévitch… Bon d accord, de Messi, du dernier Boca-Rivers.
Je vous promets des nuits d insouciances au son des musiques chaudes, oui je sais c est mon petit cote Johnny !Tiens au fait, Vendredi prochain c est Fiesta Latina …

No hay comentarios:

Publicar un comentario